Presse
Articles du Mensuel "Clarté du Soudan" - Mars 2017La situation actuelle de l'industrie des cuirs au Soudan
Le secteur des cuirs au Soudan a actuellement contribué par an de 40 millions de Dollars, comme des exportations directes, ainsi de 5 millions Dollars en Chaussures et produits en cuir en remplaçant les importations. Malgré l’énorme potentiel du bétail, comme des ressources animales,du pays,ce secteur souffre d’un grand manquement de la modernisation sans tenir un environnement d’investissement approprié, en plus,avec une absence de stratégie et de vision claires pour soutenir les exportations soudanaises.Le pays peut profiter de ces richesses, et grâce aux plans il pourrait augmenter les recettes annuelles,au lieu de 40 millions Dollars,pourrait gagner 750 millions Dollars par an.
Mohammed Suliman Mohammed Hassan, Secrétaire Général de la Chambre des cuirs et de chaussures, auprès de l’Union de chambres industrielles, a souligné à l’Agence de presse du Soudan (SUNA), que Le Soudan considéré comme l’un des plus grands producteurs de cuirs bruts dans le monde,il occupe la troisième place au niveau mondial pour les cuirs de chèvres,le sixième au niveau de moutons, le quatrième au niveau des cuirs de bovins en termes de quantité.Le Soudan a commencé le commerce en cuir avant l’indépendance, en se concentrant sur les pays qui ont des intérêts communs, l’Egypte, l’Angleterre et le commerce des cuirs a fleuri avec beaucoup de pays après l’indépendance tels que l’Italie – Espagne – Turquie – Syrie – l’Inde et la Chine dans la dernière période.
En ce qui concerne les composantes du commerce actuel, M. Mohamed, a expliqué que le nombre d’usines modernes, tanneries 18 entre les grandes et les moyennes, certains d’entre elles fabriquent les autres font la finition, en plus le commerce en cuirs bruts et, pour les exportateurs, il y a un grand nombre de collecteurs et des concessionnaires dans les différents États tout au long du pays, alimentent d’une manière régulière les tanneries par les cuirs.
Les experts en eaux: Opportunités de la coopération économique entre les pays du bassin de l'Est est toujours possible
Les participants à l’atelier national dans le domaine de la coopération entre les pays du bassin du Nil Est, qui a eu lieu au centre de recherches hydrauliques à Madani (centre du Soudan) le 7 Juin 2016, ont souligné l’importance de la coopération entre les pays du bassin pour parvenir à un développement équitable et global.Dans ce domaine, le professeur Saifuddin Hamad, chef du dispositif technique des ressources en eau, au Ministère de l’irrigation et l’électricité, a déclaré que la coopération économique entre les pays du bassin Est, est toujours possible, et ce qui les unit est plus que les diviser, en soulignant que l’atelier est venu avec la participation du Président du bassin Est (oriental)en Ethiopie, ainsi que les institutions nationales concernées par le dossier de l’irrigation au pays afin d’élargir le cercle de sensibilisation et d’ouvrir la coopération entre les pays du bassin sans exception.
Saifuddin a cité la liaison électrique entre le Soudan et l’Ethiopie comme l’un des fruits de la coopération entre les pays du Bassin du Nil et en appelant à renforcer la coordination et renforcer la coopération pour faire face aux défis du changement climatique et de la sécheresse, en notant que le Soudan bénéficie de nombreuses opportunités de mener des opérations d’irrigation par rapport aux autres pays du bassin.
De son côté, le chef du bureau technique des pays du bassin d’Est (oriental)en Ethiopie a affirmé la nécessité de l’exploitation optimale des eaux communes du Nil et de trouver les solutions appropriées pour activer la coopération entre les pays du Bassin du Nil, saluant les efforts déployés par le Soudan à cet égard.
De sa part, M. KhaderGissim, le vice-président du dispositif technique des ressources en eau, a expliqué que le gel des pays leurs activités dans le bureau technique reflétera négativement sur les pays du bassin dans le domaine de la coopération les uns avec les autres et, a noté que (Alantro) le Bureau technique des pays du bassin Est (oriental)travaille pour activer la participation à des ressources en eau afin d’atteindre les intérêts communs entre les pays du bassin.
Exportation de Ressources animales
Professeur Moussa Tibin Moussa, Ministre des Ressources animales et de la pêche et des pâturages, a déclaré dans une déclaration au Parlement sur le rapport de rendement du ministère pour l’année 2016 et la performance du premier trimestre de 2016 dans l’axe de l’exportation de bétail, que les recettes de l’exportation des ressources animales pour l’année 2015, se sont élevées à 868 000 770 000 et 845 de Dollars, 6 1000156 880 000 têtes de bétail ont été exportées en 106,6%, et de la viande 4690 et 9 tonnes en 15,2% et les cuirs 8,445,536 pièces en 67,5% de la mise en œuvre.
Dans sa déclaration,il a souligné que dans le domaine de renforcer les efforts de soutenir l’exportation, a compris la performance du ministère pour l’année 2015, dans le domaine de réhabilitation des infrastructures pour les vétérinaires et centres d’inspection et la vaccination conformément aux demandes internationales et terminer la création des abattoirs à Gadarif, Dindir, Dungola, Wad Banda, Addiein et Al-Hagiz, et se préparer à exécuter les abattoirs vétérinaires et les centres d’inspection et la vaccination grâce aux experts britanniques en préparation pour le début de la mise en œuvre de la qualité et d’améliorer les performances, dans les abattoirs afin de former les travailleurs dans ce domaine vital, le Ministre a expliqué, dans le cadre des efforts déployés visant à soutenir l’exportation,que le ministère des Finances a adopté dans le budget du développement pour l’année 2016 une somme d’un million de livres pour des projets de construction et de réhabilitation des abattoirs vétérinaires et, un montant de 70 millions de livres pour créer un abattoir moderne pour l’exportation d’un montant de 1,5 de livres pour la remise en état les laboratoires de contrôle de la qualité de différents abattoirs.
Les efforts du Soudan dans la promotion des droits de l'homme droits de l'homme
La Commission nationale des droits de l’homme déploie ses efforts pour faire valoir les valeurs et la culture soudanaise et pour mettre l’accent sur la diversité au Soudan qui caractérise toutes les composantes de la vie. Les efforts du Soudan en termes des droits de l’homme se basent sur un partenariat multilatéral parrainé par l’État, la communauté internationale, les ONG, les parties prenantes et de la société civile en vue de réaliser le principe d’indépendance et de transparence.
La Commission des droits de l’homme au Soudan s’attache aux principes de Paris et les considère comme la véritable norme pour développer les droits de l’homme au Soudan. Il est à noter que la stratégie des droits de l’homme au Soudan (2014-2018) continue de se heurter à des obstacles importants qui entrave la réussite de son plan visant à fournir les ressources nécessaires et d’apporter un soutien technique et logistique. Nous sollicitons donc la coopération et la participation des partenaires de la communauté internationale dans la mise en œuvre de ses objectifs.
Les efforts du Soudan pour accueillir les réfugiés du Sud-Soudan
En dépit des défis économiques et sociaux auxquels le Soudan fait face, le Soudan est l’un des pays qui accueillent un grand nombre de réfugiés en provenance de l’État du sud du Soudan. Dans ce contexte, le nombre enregistré de réfugiés dans les villes soudanaises est 431.950 réfugiés et le nombre dans des camps de réfugiés atteint 161.650 dont 190.000 sont arrivés à Khartoum et ils exercent une vie comme des citoyens ordinaires. Il convient de noter que le gouvernement soudanais a signé un accord avec le haut-commissariat des réfugiés afin de recenser les réfugiés venant du sud du Soudan.